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Pseudonyme
Georges Sim.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
En feuilletons dans l'hebdomadaire « Ric et Rac », du
31 octobre 1929 au 6 janvier 1930.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : septembre 1933.
Paris, J. Tallandier ; 18,5 x 12 cm, 190 pages ; couverture illustrée
(photo) ; 2 Fr.
Collection « Criminels et policiers » (nouvelle série),
n° 19.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
A noter, intercalé entre les pages 160 et 161, un feuillet
d'annonce publicitaire pour la prochain titre de la collection :
habile procédé publicitaire, avec reproduction d'une
page de l'intrigue à venir, astucieusement placé au
trois-quart du roman policier que l'on est sur le point d'achever
! Ce feuillet ne figure pas dans tous les exemplaires.
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Deuxième
bureau , 1933.
Edition originale. |
Deuxième bureau ,
1933.
Encart publiciatire.
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Intrigue
Tandis que son mari, Henrico, se livre à une partie de chasse
avec des invités, la marquise de Peralta disparaît
de son château de Chevagnes (Allier, France), Peu après
son départ, une bombe explose au château, mais le marquis
et son ami Kouchine préfèrent ne pas mêler la
police à cette affaire. Un des chasseurs, Gaston Louette,
tente pourtant d'élucider le mystère.
Tout d'abord, il se rend compte qu'un mystérieux personnage
rôde dans le village. Il s'appelle Chalom, dit le Letton,
et semble bien connaître Hélène Colin. Elle
est d'origine russe et mariée au secrétaire du marquis,
Jean Colin. Puis, impuissant, Louette assiste à l'empoisonnement
de Colin par le Letton et, enfin, à la fuite de celui-ci
en compagnie d'Hélène.
Peu après, le corps du Letton est repêché dans
un étang proche de Chevagnes, tandis que Jean Colin
qui n'est pas mort et la marquise refont surface. De nuit,
Louette tente d'escalader l'un des murs d'enceinte du château,
mais tombe et se casse une jambe. Alors qu'il est incapable de bouger,
il entend des coups de feu et plusieurs personnes quittent fébrilement
le château. La clé de l'énigme lui sera livrée
par Kouchine, qui appartient au Deuxième bureau, lorsqu'il
fait son rapport au colonel B...
Il faut remonter à l'année 1912 au cours de laquelle,
dans la Russie des tsars, un nommé Semonof est injustement
exécuté. Pour le venger, sa veuve quitte le pays avec
sa fille de deux ans et s'installe à Genève où
elle fréquente des anarchistes opposés au régime
tsariste. Puis, pour sa sécurité, elle envoie l'enfant
en Argentine. Elle-même trouve la mort à Nice, dans
un attentat manqué contre le grand-duc Boris.
A Buenos Aires, le Letton retrouve la fille des Semonof et la contraint
à commettre un acte terroriste destiné à venger
à la fois son père et sa mère. Une fois devenue
marquise de Peralta, il fait chanter le couple et, en France, leur
impose la présence de Jean et Hélène, des espions
au service d'un pays devenu entre-temps l'U.R.S.S.
Entre le Letton et le marquis, les choses se sont gâtées
lorsque ce dernier n'a plus voulu payer. Il a soigné son
secrétaire après son empoisonnement et désorganisé
la bande de maîtres-chanteurs dirigée par le Letton
avec l'aide de Kouchine qui, en l'occurrence n'a pas agit en tant
que membre du Deuxième bureau, mais à titre personnel
et amical.
Les de Peralta sont désormais en sécurité loin
de la France, en compagnie de Jean Colin, qui a passé du
côté ennemi.
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